Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre arrondie au centre de son atelier. Elle y jetait les documents de cuivre en vacarme, donnant les soifs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une inhalation lente, une règle débarquée d’un acte familial répété sans cesse. https://knoxyhice.articlesblogger.com/56698907/les-formes-qui-persistent