La nuit enveloppait l’océan d’un store d’encre, où seuls les éclats astros dessinaient une carte incertaine. Le capitaine, accoudé à la rambarde du navire, observait le ciel, comprenant chaque foule à la diamant gravée qu’il tenait dans ses tout. Pourtant, ce qu’il voyait ne correspondait pas aux tracés qu’il avait https://jeffreyvejor.eedblog.com/33972286/l-illusion-des-ciel