Le manoir se dressait, astreignant, au beau milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les tranchée envahies par les ronces, une structure de verre et métallique résistait encore au vies : une serre oubliée, dissimulée après un mur de végétation sauvage. Julien, https://arthurgtchl.blogrelation.com/39990876/le-jardin-des-obscurités-statiques