La nuit tombait délicatement sur clermont ferrand, enveloppant les toits d’une ombre diffuse que seules les lanternes venaient navrer par intermittence. Dans le silence de sa chambre, Éléonore Duprey fixait la seconde lettre posée destinées à elle, son regard oscillant entre grâce et phobie. La voyance, qui jusque-là n’avait été https://carlj676gvj3.blogcudinti.com/profile